PRIX VENTE : 10.99 €
ISBN : 9782322623709
ebook 4.99€
l'Orange
“L’Esprit est un dragon à deux têtes.
L’une dirige l’autre,
mais on ne sait jamais de laquelle il s’agit.”
Dévasté par un tragique destin qu’il juge insurmontable, le jeune Vincent décide de percer les mystères de la vie en quête de paix intérieure. Il invoque alors sa bonne étoile, espérant qu’elle le guide sur le chemin de la sagesse. C’est alors qu’une étrange fée apparaît et l’emmène à la rencontre des Mages contemporains, héritiers des quatre Vedas, détenteurs de connaissances précieuses. Mais le prix à payer pour leurs révélations est élevé ! Au terme de son voyage initiatique, une découverte inattendue l’attend. Et tout au long de ses périples, l’Orange, symbole d’un bonheur proche, la suivra comme un précieux talisman.
Livre Broché - 210 pages
Format 135 x 215
- ebook disponible -
Un roman original qui nous transporte dans un univers onirique et spirituel. De la Guyane à la Thaïlande, en passant par les boîtes de nuit de Poitiers, chaque lieu évoqué est une étape d'une quête intérieure, chaque rencontre avec ces Védas inattendus, un nouveau pas vers la lumière. À travers l'histoire de Vincent - et de Peter - parviennent ainsi, au lecteur, des paroles qui l'inspireront dans son chemin vers le bonheur et la sagesse. Un roman imaginatif et inspirant !
Juliette JOSSET, Éditrice, Éditions Persée
Fusion captivante de quête initiatique, de réflexion philosophique et d'éléments fantastiques qui promet d'engager les lecteurs en quête de sens et d'aventure spirituelle. Les métaphores employées nous offrent une exploration profonde de la dualité intérieure et des mystères de l'existence. L'incorporation de la symbolique de l'orange et la rencontre avec des mages contemporains ajoutent une dimension de mysticisme et de quête de sagesse qui devrait résonner auprès d'un public en recherche de récits inspirants et de croissance personnelle.
Emilie DELBUT, Éditions Baudelaire
Il est des éveils qui ne se produisent pas dans le tumulte du monde, mais dans le silence d’une intuition. Très jeune, j’ai pressenti que la vie intérieure n’était pas un don figé, mais une œuvre en devenir. L’homme, me semblait-il, porte en lui une force de transformation aussi réelle que celle qui sculpte ses muscles ou fortifie son souffle.
Cette certitude intime, d’abord confuse, a guidé mes pas. Elle m’a conduit à comprendre que la conscience n’est pas un simple témoin, mais un outil, un artisan, un feu. C’est elle qui peut, si l’on apprend à la manier, ordonner le chaos des pensées, réconcilier l’esprit et le cœur, et ouvrir à cette paix qui ne dépend d’aucune circonstance.
Avec le temps, j’ai compris que ce travail intérieur n’avait ni commencement ni fin : il s’inscrit dans le rythme même de l’existence. Chaque jour, la vie nous tend un miroir, et chaque regard que nous y portons peut devenir un acte de connaissance.
Apprendre à se façonner soi-même, ce n’est pas chercher à se corriger selon un idéal, mais à s’ajuster à ce que la vie révèle en nous de plus vrai, de plus vivant. C’est une ascèse sans rigidité, un art sans prétention : celui d’habiter pleinement son être.
Et peut-être est-ce là, au fond, le sens le plus noble de la liberté — non pas faire tout ce que l’on veut, mais devenir capable de vouloir ce que l’on est.